Salut Brassens

Georges Brassens nous a laissé un trésor.

Ce concert est une invitation à partager:

  • Le plaisir de chanter ensemble, de façon ludique et variée, les chansons que nous aimons, et d’en découvrir d’autres, moins connues.
  • Le plaisir de goûter aussi l’humour, l’intelligence, le non-conformisme réjouissant de son propos, de juxtaposer des chansons contradictoires en apparence, mais qui nous font avancer dans notre réflexion.

Grâce à leur grande complicité musicale, Joel Favreau et son extraordinaire musicien, mettent en lumière la richesse et la modernité étonnantes des musiques du « Bon Maître ».

NOUVEAU:  Projection d’une vidéo de Georges Brassens en concert chantant « La Supplique » et Joel Favreau l’accompagne en direct sur scène.

« SALUT BRASSENS » offre une soirée festive et chaleureuse qui draine un très large public allant des plus jeunes aux fidèles admirateurs du « Bon Maître » et, fait exceptionnel, plus des artistes reviennent dans une même région, plus il y a de spectateurs.

 

LA PRESSE EN DIT:

Le dernier guitariste du poète lui a rendu un joli hommage devant plus de trois mille spectateurs (Le Midi Libre).

Mieux qu’un hommage, c’est une fête, une complicité chaleureuse dans le rire et l’émotion, un pur moment de bonheur (La Nouvelle République)

« Brassens, Joel le connaît musicalement de l’intérieur ». (Maxime Le Forestier)

« Les chansons de Brassens sont un vaccin contre la connerie, mais il faut pas mal de rappels ». (Pierre Desproges)

Peut-on encore surprendre en reprenant du Brassens ? Oui ! prouve Joel Favreau qui tint douze ans durant la deuxième guitare à l’ombre du manche du maître. Aiguilloné avec rudesse par Le Forestier (« Ecoute, tu nous emmerdes avec ta deuxième guitare. Est-ce que tu vas enfin te décider à chanter ?…), Favreau qui a déjà publié ses propres chansons ose enfin chanter Brassens. Et c’est superbe : la voix est chaude et bien timbrée, l’articulation exemplaire. La guitare alerte et l’accordéon qui lui répond rendent ensemble justice à une musicalité que les po-pom po-pom de la version d’origine réduisaient au minimalisme : et c’est enthousiasmant !  (Télérama)

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